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le «Maréchal de fer»
Maréchal de
France (1804)
Duc d’Auerstaedt, prince d’Eckmühl.
(Annoux –Yonne–, 10 mai 1770 - Paris, 1er juin 1823)
Louis-Nicolas
Davout, fils de Jean-François
d’Avout (1739-1779) et Françoise Adélaïde Minard de Velars, est
né le 10 mai 1770, dans une famille noble de très
bonne souche et paradoxalement pauvre, à Annoux non loin d'Avallon. |
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Il est
l’aîné d’une famille de quatre enfants (Julie, 1771-1846 ; Alexandre, 1773-1820, général ; Charles,
1776-1854, colonel). Fils
de militaire, d'Avout puis Davout étudie à l’école militaire d’Auxerre et entre comme cadet-gentilhomme
à l’Ecole royale militaire de Paris (29 septembre 1785). Féru
de lecture, il étudie les philosophes pour parfaire sa culture, tout comme un
nommé Bonaparte. Le 2 février 1788 il est nommé sous-lieutenant au régiment de
Royal-Champagne-cavalerie. |
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Dès lors,
il devient un ardent révolutionnaire, grand admirateur secret de Saint-Just
et d'Hébert, les deux "enragés" du moment. Très habile
avec la guerre, il l'est aussi avec |
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En 1792, il
commande un bataillon des volontaires de l’Yonne dans l’armée de Belgique. Il
participe à la bataille de Neerwinden, le 18 mars 1793 où
il tente en vain d'arrêter Dumouriez
presque seul, lorsqu'il abandonne l’armée française pour passer à l'ennemi. Dumouriez
parvient à s’échapper. Davout est
envoyé à l’Armée de l’Ouest et nommé général de brigade (juin 1793). Il
refuse sa nomination comme général de division, considérant qu’il manque
d’expérience pour une telle fonction mais aussi pour
se conformer au décret excluant de l'armée les ci-devant nobles. Il ne
reprend du service qu'après l'élimination de Robespierre, à l'automne 1794,
et se bat sur le Rhin en tant que général de brigade. Il s'empare de Mannheim
(1795), mais est fait prisonnier à la capitulation de cette ville (18
septembre 1795). |
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Echangé peu
après, il revient sur le Rhin, attaque Kehl,
est à Haslach (14 juillet 1794) s'empare de la correspondance de Pichegru dans le
fourgon de Klinglin (21 avril 1797), ce qui permet de découvrir les
tractations de celui-ci avec les émigrés. |
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Qu’il soit prisonnier de l’ennemi, en inactivité
ou en service, Davout reste constant dans ses objectifs de carrière, allant
jusqu’à étudier des traités militaires. Il suit une progression exemplaire dans
différents corps d’armée, se liant d’amitié avec Desaix.
Ce dernier le présente à Bonaparte en 1798. Davout fait partie de
l’expédition d’Egypte, chargé d’une brigade de cavalerie de En 1800, unique général
à avoir refusé de signer la capitulation après le départ de Bonaparte, il
revient en France en mai 1800. |
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Retenu un
mois par les anglais à Livourne, il arrive à Toulon le 6 mai. Promu Général de division, le 3 juillet,
Davout est mis à la tête de la cavalerie de l'armée d'Italie sous la direction du général
Brune. |
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Le
09 novembre 1801 il épouse Louise
Aimée Julie Leclerc (1782-1868), fille d'un
riche marchand et sœur
de Leclerc qui fait de lui un beau-frère de Pauline, sœur de
l’Empereur ; sa femme préférait les longs
séjours à la campagne aux agitations de Elle
lui donnera 8 enfants (Paul, 1802-1803 ; Joséphine, 1804-1805 ; Joséphine,
1805-1821; Adèle, 1807-1821 ; Napoléon, 1809-1810 ; Louis, 1811-1853 ; Jules,
1812-1813 ; Adélaïde, 1815-1892) Ils feront l’acquisition du Château de Savigny sur Orge,
Essonne (91) en 1802. |
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Maréchal d'Empire le 19 mai 1804, il doit sa nomination à l'opinion personnelle que Bonaparte avait de ses capacités. Il devient ensuite un des quatre colonels généraux de Connu
pour sa probité, son esprit de devoir et pour la sollicitude pour ses
troupes, les autres Maréchaux le haïssent pour sa rudesse et son caractère
vindicatif. Envoyé à
Boulogne, il forme le IIIème corps, la future aile gauche de |
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C'est encore
lui qui décide de la campagne de Prusse de 1806 en soutenant le choc du gros de
l'armée prussienne
de Brunswick à Auerstaedt le 14 octobre 1806. Les divisions Friant, Morand
et Gudin malgré une infériorité numérique de un contre trois gagnent
la bataille et facilitent ainsi la tâche de l'Empereur à Iéna.
Napoléon dira : " Le maréchal Davout a eu une affaire superbe, il a battu seul 60.000
prussiens ". En récompense, Davout aura l’honneur de rentrer le
premier dans Berlin (25 octobre 1806). |
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Cet homme dont l'esprit du devoir dicte sa conduite livre encore plusieurs batailles victorieuses en Pologne, commande l'aile droite à Eylau où il fit preuve de sa sévérité exemplaire en s'écriant lors de la bataille : " Les braves mourront ici, les lâches iront mourir en Sibérie. " Davout
se confiait souvent à Napoléon, peut-être même un peu trop au goût de certain.
Il a été l’un des maréchaux les plus fidèles à l’Empereur et sur lequel
Napoléon pouvait réellement compter. Il était un très bon manœuvrier. Sans
conteste, l’un des tout meilleurs généraux du Premier Empire. Toujours à Eylau, avec ses 14.000 hommes, il
force à la retraite les armées russes sur le flanc droite. Alors gouverneur
du duché de Varsovie, il reprend son service de soldat, peut-être irrité par
les soupçons de l’Empereur sur ses aspirations à la couronne polonaise. |
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Nommé Duc d'Auerstaedt (28 mars 1808), gouverneur général du grand-Duché de Varsovie, Davout, menant ses troupes à la baguette (maintenant une stricte discipline et étant intraitable avec les pillards), s'illustre à nouveau durant la campagne de 1809. A Eckmühl en avril 1809, le
corps de Davout se retrouve seul face à l’essentiel de l’armée autrichienne.
Il prend l’initiative de l’attaque et par- vient à la
faire reculer. Napoléon le
fait prince d'Eckmühl le 15 août 1809.
A Wagram le 6 juillet, il dirige une attaque
décisive. Le 1er janvier 1810, il est commandant en chef de l’armée
d’Allemagne, fonctions qui l’amènent à dénoncer les activités frauduleuses de
Bourrienne en poste à Hambourg. |
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Davout est ensuite nommé gouverneur des villes hanséatiques et à ce
titre, chargé de veiller à la bonne application du blocus continental au nord
de l’Europe. Surtout, il doit réorganiser Davout est persuadé de la folie de cette
entreprise mais, pour ce soldat, un ordre est un ordre. Au début de l’année
1812, il quitte Hambourg à la tête du Ier corps de Il fut blessé par un boulet à la Moskowa, le 7
septembre1812. A Borodino, le cheval de Davout est tué sous
lui. Il perd un instant connaissance, mais reprend rapidement son
commandement. Considéré comme un homme de fer, il pleure la mort de son
fidèle général de division, Gudin, tué devant Smolensk.
Lors de la retraite, son corps placé en arrière-garde parvient à contenir les
assauts ennemis. |
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Après cette campagne, Davout est envoyé en
Allemagne, pour mater les soulèvements de La bataille des
nations (alliance entre
C’est le règne des « 100 jours » du 20
mars au 28 juin 1815. En mai 1815 les combats en
Italie entre l’Autriche et Murat se soldent par la défaite de Murat. En juin
1815 une campagne des troupes alliées commence en Belgique et elle se termine
à Waterloo qui est une grande défaite pour Quand il apprend le désastre, Davout comprend que tout est perdu. Le
gouvernement le délègue pour demander à l’Empereur de quitter la capitale. L’Angleterre
exile Napoléon sur l’île de Sainte-Hélène. |
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Le 3 juillet 1815, il signe l’armistice avec les Alliés et quitte
Paris en faisant évacuer tous les objets de valeur du musée d’artillerie. Il
revient toutefois pour défendre Ney, mis en accusation. A
la restauration, Davout est mis en résidence surveillée à Louviers. Privé de ses traitements, il connaît une période
difficile avant de recouvrer finalement ses titres en 1817 et d’être admis à Il sera élu Maire de Savigny-sur-Orge (département de
l'Essonne) de 1822 à 1823. Louis-Nicolas Davout s'éteindra à Paris le 1er
juin 1823 d’une
phtisie pulmonaire, il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise. |
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Parmi les aides de camp qui lui ont
été le plus attachés, le plus dévoués, il en est un qui, quelques quarante
ans plus tard, conserve le feu d’une affection vive et bien sentie. Le général
de Trobriand , avec son caractère breton écrivait : « J’ai consacré au Prince
d’Eckmühl tout ce que mon cœur renfermait d’attachement et de dévouement. Sa
vie privée a été à la hauteur de sa carrière militaire, par les qualités
solides qui l’ont distingué. Homme de cœur dans toute l’acception du mot, il
n’a jamais voulu s’entourer que d’hommes honnêtes et esclaves du devoir.
Généreux à l’excès, il s’oubliait pour songer aux autres. Veillant lui-même
au bien être de tous ceux qui étaient attachés à sa personne, on l’a vu prêt
à sacrifier des sommes importantes pour leur venir en aide. Sévère, mais
juste, il jugeait les hommes avec une grande impartialité, utilisant chacun
suivant son mérite, au plus grand avantage du pays comme de la personne
elle-même. On ne lui a jamais connu de ces faiblesses dont si peu d’hommes
ont le privilège de s’affranchir ». Le
nom de Davout figure sur la table des maréchaux et bien entendu sur l'arc de triomphe. Il
est, avec Suchet, le seul maréchal d’empire à ne pas avoir connu de défaite. Son gendre, Achille- Pierre-Félix Vigier sera également Maire de
Savigny-sur-Orge de 1823 à 1831 ainsi que son fils, Louis-Napoléon DAVOUT de
1843 à 1846.. A Savigny-sur-Orge, une place porte le nom du maréchal Davout ;
on y trouve les rues d’Auerstaedt, d’Eckmühl, du général Friant, du général
Louis Morand, du général Lasalle. Curieusement
la rue du général Gudin n’existe pas ! |
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A sa mort, la fille du maréchal d'Empire, la marquise Adélaïde-Louise
Davout d'Eckmühl de Blocqueville lèguera à la commune de Penmarch, la somme
de 300.000 francs afin que soit édifié un phare. Elle écrivait : "sur un point dangereux des côtes de France, non miné par la
mer... J'aimerais que le phare d'Eckmühl fût élevé là, mais sur quelque
terrain solide, car je veux que ce noble nom demeure longtemps béni".
Ce don généreux avait également pour but de «sauver des vies
humaines et racheter ainsi les vies perdues par la fatalité des guerres».
Le phare d'Eckmühl fut inauguré le 17 octobre 1897. |
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Sous-lieutenant
au royal Champagne cavalerie, le 2 février 1788. Elu lieutenant-colonel en premier au 3e bataillon des volontaires de
l’Yonne, le 22 septembre 1791. |
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A l’armée du Nord, en 1792. A l’armée de Belgique, en 1793. Adjudant général chef de bataillon a l’armée des
côtes de Général de brigade, le 25 juillet 1793. Nommé général de division à l’armée du Nord, le
30 juillet 1793, il refusa son commandement et démissionna Général de brigade de cavalerie a l’armée de |
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A l’armée de Rhin et Moselle, le 7 juin 1795. |
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A l’armée
d’Angleterre, le 12 janvier 1798. A l’armée d’Orient, le 14 avril 1798. Général de division, le 3 juillet 1800,
commandant toute la cavalerie de l’armée d’Italie, le 26 août 1800. Inspecteur des troupes à cheval des 1ére, 14e,
15e et 16e divisions militaires, le 24 juillet 1801. Commandant les grenadiers à pied de la garde
consulaire, le 28 novembre 1801. Commandant du camp de Bruges, le 29 août 1803 Maréchal d’Empire, le 19 mai 1804. Colonel-général commandant les grenadiers à pied
de la garde impériale, le 14 juin 1804. |
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Commandant le corps de droite de l’armée des côtes de l’Océan, le 20
juin 1805. |
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A Gouverneur général du Grand Duché de Varsovie, le
15 juillet 1807. Commandant de l’armée du Rhin, le 12 octobre
1808. Commandant le 3e corps de l’armée d’Allemagne, le
30 mars 1809. Commandant en chef de l’armée d’Allemagne, le 1er
janvier 1810. Gouverneur général des villes hanséatiques, le
1er décembre 1810. Commandant le corps d’Observation de l’Elbe, le
15 février 1812. A |
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Commande l’arrière-garde, du 26 octobre au 3
novembre 1812. Commande le 1er corps de la nouvelle Grande
Armée, le 12 mars 1812. Gouverneur de la 32e division militaire, le 16
avril 1813. Commandant le 13e corps de Organisa et dirigea la défense de Hambourg qu’il
n’évacua que le 27 mai 1814. Ministre de Pair de France aux Cent-Jours, le 2 juin 1815. Commandant de l’armée de Exilé à Louviers, privé de traitement et
surveillé par la police, 1815-1816. Rétabli Maréchal de France, le 27 août 1817. De nouveau Pair France, le 5 mars 1819. |
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Bibliographie : Livres "Mémoire de M. le maréchal
Davout, prince d'Eckmühl, au roi" Louis Nicolas Davout -- Paris - G.
Warée – 1814 - et réimpression en 1890 sous le titre "Le
maréchal Davout à Hambourg" publié par le général César de Laville –
Nancy - Berger-Levrault. - "Hambourg avant
Davoust" – Varnhagen d’Ense – Paris, F. Schoell – 1814 - "Hambourg et le Maréchal
Davout - Appel à la justice" - Th. de Haupt – Paris 1814 - et "Réponse à un
écrit de M. d’Aubignosc" par Th. De
Haupt, a Paris – 1814 - "Le
Robespierre de Hambourg démasqué", par un
ancien fonctionnaire français, chez Le Normand à Paris – 1814 - "Stein à Davoust ou
réplique au Prince d’Eckmühl par l’une de ses victimes" – Herman Stein –
Paris chez Abel Lanoe – 1814 ‘’Le
Maréchal Davout, Prince d'Eckmühl’’. Auxerre, Charles Joly – Imprimerie G.
Perriquet – 1864 Prix Crochot - "Histoire de la vie
militaire, politique et administrative du maréchal Davout" Gabriel de
Chénier Paris - Cosse - Marchal – 1866 - "Le
Maréchal Davout, prince d'Eckmühl, raconté par les siens et par
lui-même" A.L. d'Eckmühl et marquise de Bloqueville (4 vol) Paris -
Didier – 1879-1880 - |
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‘’Le Maréchal Davout, Prince
d'Eckmühl. Correspondance inédite (1790-1815). Pologne, Russie, Hambourg.
Présentée par "Correspondance du
Maréchal Davout - Ses commandements, son ministère - 1801-1815" –
Charles de Mazade (4 vol.) Paris - Plon – 1885 -
"Le Maréchal Davout, duc
d'Auerstaedt, prince d'Eckmühl" Léon Hennet Paris - Baudoin – 1885 "Davout " Paul
Bondois Paris - A. Picard & Kaan – 1895 - "Le Maréchal Davout, son
caractère, son génie" Emile Montégut - Hachette – 1895 - "Opérations du 3ème Corps,
1806-1807" Rapport du Maréchal Davout, duc d'Auerstaedt Publié par son
neveu, le Général Davout, duc d'Auerstaedt Paris - Calmann Levy – 1896 - |
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"Davout et de Moltke"
Jules Arnaud Nîmes - H. Michel & G. Gory – 1890 - "Davout, maréchal
d'Empire" Comte Vigier (2 vol) Paris - Ollendorf – 1898 - "Les
Grands hommes de guerre: Davout " Raymond Peyronnet - Paris - M. Imhaus
& R. Chapelot – 1914 - "Le
Maréchal Davout et sa famille à Savigny-sur-Orge" Jacques-André Janvier
– Corbeil-Essonnes - Typolino - Avril 1951 - et
réédition en 2006 - "Davout et l'art de la
guerre" Daniel Reichel Neuchâtel - Delachaux et Niestlé – 1975 - "Davout le Terrible"
François Guy Hourtoulle Paris - Copernic - 1975 -
"Le
Maréchal Davout" Frédéric Hulot – Paris – Flammarion Pygmalion, 2003 - ‘’Le
Maréchal Davout’’ Pierre Charrier – Paris – Nouveau Monde, 2005 - ‘’Davout,
l’autre vainqueur d’Iéna’’ H. Temglit & Ch. Deschamps – Editions du
Triomphe (1ère bande dessinée sur le maréchal)
- Essais
et articles "Eloge
historique du Maréchal Davout" -
Rapport sur le concours pour le Prix Crochot M. CHALLE - Société des
Sciences de l'Yonne Auxerre - Imp. G. Perriquet – 1864 ‘’Statue à
ériger à Auxerre au Maréchal Davout’’ - Société des Sciences de l'Yonne
Auxerre - Imp. de. Perriquet et rouillé – 1863 - "Le Maréchal Davout, sa
jeunesse et sa vie privée" 1ère
partie – 2ème partie – Emile
Montégut Revue des deux mondes –
T . 35 –1879 - ‘’L’exil du maréchal Davout à
Louviers en 1816’’ – Albert Le Lorier – Revue de l’Eure, 1901, - "Les intrigues royalistes
de Fouché et de Davout, 1815" –
Henry Houssaye Revue Historique, 1905, Année 30.T.87 (janv,avr) - "Le Maréchal Davout"
Comte Lort de Sérignan - Revue des questions historiques, 1905, année 39 Ns
T.33 (janv) - "Le
Maréchal Davout - Etude de son caractère militaire" Commandant Vachée –
(Revue militaire générale (vol I & II) - 1907) –
- Paris
- Librairie des Deux Empires – 1999 "Davout,
maréchal de l'Empire" Arthur Levy – Revue de Paris (p 309-332, 619-644)
– 1924 - "Les dernières années du Maréchal
Davout, sa vie de famille, ses amitiés et ses haines" Emile Montégut
Revue des deux mondes – 1880 T.42
(nov,déc) - ‘’Le
maréchal Davout’’ Paul Tranquille – Série Les Contemporains – 1893 - ‘’Catalogue
de ‘’La défense de Hambourg en
1813-1814‘’
par le baron A. d'Avout - Dijon, imp. de Darangière –
1896 – Extrait des Mémoires de la Sté
bourguignonne de géographie et d'histoire,t. XII, -
‘’Maison
Davout, sa généalogie avec pièces à l'appui‘’ par le baron A. d'Avout – Bulletin de la société historique de l'Yonne
– 2ème trimestre 1901, (p.333 à 428) |
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Livres étrangers : "Davout’s Gewaltthätigkeiten" Hermann Christian Krüger – Hamburg 1814 "Antwort auf das Memoire des Herrn
Marschall's Davout, seine Verwaltung und Vertheidigung Hamburgs betreffend" Amandus Augustus.Abendroth – Chronik Hamburgs 1815 "Denkschrift
über die Ereignisse welche sich auf die Wiederbesetzung von Hamburg"
Chambellan J. d'Aubert – 1845 "Carattere
militare Davout" Luigi Chiala - Roma 1882 "Davout
in Hamburg" Paul Holzhausen – Mülheim/R., Röder, 1892 "Davout und die Festung Hamburg-Harburg 1813-1814" Carl HENKE - Mittler & Sohn - Berlin 1911 "The iron marshal: a biography of Louis N. Davout" John
Gallaher – Carbondale, Southern Illinois University Press, 1976 - et réédition en 2000 "Marshal Louis N. Davout and the art of command" Major John M. Keefe
– US Army Command & General Staff College – Napoleon's Finest: Marshal Louis Davout and His 3rd Corps, Combat
Journal of Operations, 1805 - 1807 |
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Tableaux et gravures de l’époque
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